16 novembre 2015
Louise-Victorine Ackermann - Adieu à la poésie
Mes pleurs sont à moi, nul au mondeNe les a comptés ni reçus ; Pas un œil étranger qui sonde Les désespoirs que j’ai conçus. L’être qui souffre est un mystèreParmi ses frères ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire S’asseoir aux portes du trépas. J’irai...